La densité des particules ultrafines a été, en moyenne, de 24㎍/㎥ entre décembre 2019 et mars 2020 en Corée du Sud. Selon le gouvernement, cela correspond à une baisse de 27 % en glissement annuel. Elle est en grande partie due aux conditions météorologiques et à l'application de la politique de gestion saisonnière.
Météo, d’abord. La pluie a été abondante durant cette période tout comme le vent de l’Est, ce qui a permis de balayer les particules fines. Et concernant le système de gestion saisonnière, les centrales au charbon et usines ont moins émis de pollution, 39 % et 30 % respectivement.
La baisse des activités industrielles suite à la propagation du COVID-19 semble aussi avoir contribué à l’amélioration de la qualité de l’air.
Des résultats plus concrets seront publiés à la fin du mois.