Des bruits sortis de nulle part, des décors à vous glacer le sang et le danger qui guette à chaque recoin. Bienvenue à Dark Doom, un tout nouveau lieu de divertissement, sorte de maison hantée, qui vient d’ouvrir ses portes au centre de Séoul, à temps pour les vacances d’été.



Des sueurs froides comme remède à la chaleur de l’été, c’est presque devenu une tradition en Corée du Sud, avec la sortie chaque année de blockbusters terrifiants sur les écrans. Une coutume qui remonte au succès du film « Whispering corridors » en 1998, et des quatre autres volets de la série. Si les films d’horreur suivent inévitablement certains codes, ils ne manquent toutefois pas de se renouveler pour captiver les spectateurs. Les thèmes évoluent pour refléter l’actualité ou les peurs contemporaines, comme les catastrophes environnementales et les virus meurtriers.

L’épouvante se retrouve aussi là où on l’attend moins. L’une des pièces de théâtre qui se joue actuellement dans le quartier de Daehangno, à Séoul, raconte l’histoire d’un détective dont les amis sont tour à tour victimes de meurtre. Une musique macabre et l’apparition soudaine d’acteurs sur la scène scotchent les spectateurs à leur siège.