Les procureurs ont perquisitionné mercredi les bureaux du groupe Hyundai Motor. Le premier constructeur automobile sud-coréen est soupçonné d’avoir caché intentionnellement les défauts de ses véhicules.
En 2017, le ministère des Transports avait décidé de rappeler des voitures de la marque Hyundai ainsi que de sa filiale Kia. Leur nombre s’élevait à 240 000 unités. Et il avait dénoncé la firme au Parquet.
Hier, les enquêtes ont alors commencé pour de bon. Des procureurs et enquêteurs ont été dépêchés au département de gestion de la qualité de Hyundai-Kia ainsi qu’à l’institut de recherche de Namyang afin de collecter des dossiers et documents informatiques.
Le ministère public tentera de déterminer si le groupe a violé ou non les règles relatives aux rappels.