La Corée du Nord pourrait procéder à des essais d’armes de destruction massive, autrement dit à des tests nucléaires ou balistiques, d’ici deux à quatre semaines. C'est ce qu'a annoncé le 22 novembre dernier le Centre d’études stratégiques et internationales (CSIS).
 
Selon ce groupe d'experts basé à Washington, le régime communiste n'a pas montré de signe d’activités en ce sens depuis le mois dernier. Or, dans le même temps, il a de nouveau été désigné comme pays soutenant le terrorisme par les Etats-Unis, et le Trésor américain a annoncé de nouvelles sanctions destinées à tarir des sources de financement de son programme nucléaire et balistique.
 
Le porte-parole du ministère nord-coréen des Affaires étrangères avait vivement condamné ces mesures de représailles de l'administration Trump, en les qualifiant de « provocation grave et d'ingérence brutale ». Il n'a pas manqué de marteler que les Etats-Unis devraient payer pour leurs actes irréfléchis.

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