Basé depuis 1954 à Dduk-seom, le champ de courses fut transféré à Gwacheon, dans la banlieue sud de Séoul, pour les Jeux d’Asie de 1986 et pour les Jeux Olympiques de 1988.

« L’hippodrome de Séoul a ouvert ses portes en 1989 ». Les visiteurs peuvent suivre une dizaine de courses chaque week-end. Les familles avec des enfants en bas âge pourront profiter du centre équestre des poneys et jouir, en même temps, de jeux d’eaux, de courses de chevaux d’enfants tout en appréciant les fleurs sauvages. Le parc abrite aussi l’unique musée chevalin de Corée. »

Pour se rendre au champ de courses, il suffit de prendre la ligne 4 du métro. Mais, il est également possible de prendre des navettes à la station Yangjae sur la ligne 3, ou encore à Yeongdeungpo, dans le sud-ouest de Séoul. Et ne vous inquiétez pas si vous n’apercevez pas le parc même après avoir marché un certain temps le long d’une route parsemée de panneaux indiquant le champ de courses. Parce que voici le moyen de transport unique qui vous mènera au parc : un cocher, coiffé de son chapeau de cowboy, monté sur un char couvert de fleurs blanches. C’est lui qui va vous emmener gracieusement dans le parc de l’hippodrome.

À environ un kilomètre de distance du métro, nous arrivons enfin. Nous devons prendre tout d’abord un ticket d’admission qui ne coûte que 800 wons, c’est-à-dire 50 centimes d’euro ! On se demande pourtant où se trouve l’entrée puisque nous ne voyons, devant nous, qu’un tunnel. Serait-ce là l’accès à l’hippodrome ?